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Rêveries
2 octobre 2015

Gilberte de Courgenay

Gilberte de Courgenay était "La Madelon suisse" pendant la Grande Guerre. Lire son histoire (ICI).
La chanson commence en dialecte alémanique et le refrain est en français. La chanson est extraite du film "Gilberte de Courgenay" (1941). C'est Anne-Marie Blanc qui tient le rôle de Gilberte.
Cette chanson est connue des anciennes générations.

Gilberte de Courgenay

 

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1 octobre 2015

Belp

Dimanche, 27 septembre 2015

Un classique de nos balades du dimanche: la balade de l'aéroport...

Le départ se fait au terminus du tram 9 à Wabern, et, par les routes de campagne la balade s'achève à l'aéroport de Belp-Bern.  Un aéroport de campagne accessible par des routes cahotantes.

Les cerisiers sont en attente de perte de feuillage, les vaches paissent tranquillement en regardant les promeneurs.
Un bruit déchire le silence, c'est un Fokker-100 d'Helvetic, avion bruyant de la fin des années 1980. C'est le vol pour Calvi qui décolle. Devant les fermes, les paysans vendent des fruits et légumes. Disposés sur des tables, les produits sont choisis par le client qui dépose la monnaie dans une boîte. Dans les campagnes bernoises on trouve beaucoup de vente directe gérée par l'honnêteté des acheteurs. Fruits, légumes, œufs ou fleurs sont disponibles. Le paysan passe de temps à autre relever la caisse.
Un embraer d’Helvetic, avion très silencieux, se prépare au décollage. Il gagnera Palma à Majorque. Nous sommes en pleine vacances scolaires d’automne et les trois guichets d’enregistrement sont pris d’assaut. Cette agitation portuaire laissent  indifférents les magnifiques noyer qui s’épanouissent dans le champ proche de la piste. Nous achetons des noix. Elles sont encore fraîches. Les voyageurs qui débarquent à Belp-Bern, sont surpris en passant la porte de sortie de se trouver en pleine campagne. Quelques taxis, un vague bus, une route guère plus large qu’une voiture, des champs avec des vaches…
Il est difficile de trouver une table de libre au minuscule café qui fait face aux portes d’embarquement. Une vitre sépare le monde des sédentaires de celui des voyageurs. Ici, pas d’interminables couloirs. Quelques mètres à parcourir du comptoir d’enregistrement à la porte de l’avion. Puis, l’aéronef disparaît entre les montagnes. Les pilotes sont concentrés, les approches finales se font soit sur la ville fédérale soit entre les montagnes.
Le retour, à pied, est salué par un timide soleil qui perce le brouillard.

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- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.

Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure 

 

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Valéry

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