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Rêveries
5 août 2018

Un été sans fin - 33 degrés ter...

Encore une journée à 33 degrés...
Pour avoir un peu de frais, balade au bord du lac de Thoune, à Faulensee
Le cerveau a fondu...

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1 août 2018

Un été sans fin - Fête nationale

Ce soir, selon la tradition, à 20 heures, toutes les cloches des églises de Suisse sonnaient. C'est la fête nationale...

(Photos: Wagon restaurant, Bâle - Berne - Interlaken, décoré; balcons, cortège folklorique et montagnes à Interlaken) 

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31 juillet 2018

Un été sans fin - ASMR

Une mouche, une fourmi et un beignet sucré, tous les éléments pour faire un film. Pour pimenter le tout, j'ai ajouté un poème de Desnos dit en ASMR. C'est à la mode l'ASMR !
C'est un peu surréaliste tout ça...
J'ai filmé les 18 et 25 juillet 2018 à Langnau Im Emmental, pendant la belle lumière du soir

La mouche, la fourmi et le beignet sucré

Un été sans fin
LA MOUCHE, LA FOURMI ET LE BEIGNET SUCRE
Le poème "Une fourmi de dix-huit mètres" est dit en ASMR
Filmé à Langnau Im Emmental les 18 et 25 juillet 2018
Réalisation Jeanjacques666

27 juillet 2018

Un été sans fin - Chaleur

Le 24 juillet, la Ville fédérale transpirait, 30 degrés au compteur
Le 26 juillet, c'était l'étuve, 32 degrés dans le tube de verre du mercure
Aujourd'hui, 31 degrés, on a bien senti qu'il faisait moins chaud que hier !!!

Les trois ruches installées dans un coin du jardin offrent un spectacle intéressant. Par grande chaleur, les abeilles se tiennent à l'extérieur, en grappe. Elles agitent leurs ailes, le bruit est assez impressionnant. Elles ventilent. Les abeilles font la barbe, dit-on dans le jargon des apiculteurs.

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23 juillet 2018

Un été sans fin - Le bain, carte postale

Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)
Tracey Sylvester Harris_Luscious_Swim

 Tracey Sylvester Harris

Votre histoire devra être "étoffée" autour de la phrase suivante :
"Ah ! qui n'a pas eu envie d'un pastis après un bain de mer pris en Méditerranée ne sait pas ce qu'est un bain de mer pris le matin en Méditerranée."
C'est Marguerite Duras qui nous le dit, dans Le marin de Gibraltar (1952).

 Splash et Tchin, lundi !

LE BAIN, CARTE POSTALE

"Ah ! qui n'a pas eu envie d'un pastis après un bain de mer pris en Méditerranée ne sait pas ce qu'est un bain de mer pris le matin en Méditerranée."
Elle quitte quelques instants les pages du livre qu’elle lit. Cette image d’un pastis après un bain de mer s’insinue en elle. On est au coeur de l’été, d’un été sans fin. Ce dimanche de juillet, la température est basse. Dans son tube, le mercure indique 24 degrés centigrades. Les météorologues prédisent toutefois de fortes chaleurs pour la dernière semaine de juillet. Le ciel est chaotique en ce milieu d’après-midi. Les nuages, pressés de gagner le sud, là, où le temps dure longtemps, forment d’immenses bouchons qui masquent le soleil. 

La lectrice, allongée sur une serviette de bain, reprend la lecture du roman qui donne envie de déguster un pastis. Elle a abandonné l’idée de se précipiter au restaurant de la plage. Ici, on carbure à la bière, une bière généralement insipide et bon marché.
Le long du chemin au bord de l’eau,  un interminable chapelet de baigneurs se dirige ostensiblement en direction du camping. Ce cortège de chair blanche ou bronzée, véritable défilé de mode à la gloire du maillot de bain, « costume de bain », dans nos régions, germanisme oblige, ce morceau de tissus, savamment disposé, pour cacher ces choses que l’on ne saurait voir, « n’affecte en rien la lectrice plongée dans la lecture d’un roman de Marguerite Duras, « Le marin de Gibraltar ». Elle fait semblant de lire, elle rêve d’un pastis. L’évocation d’un 51, dans ce roman maritime, lui a mis l’anis à la bouche. N’y tenant plus, elle se précipite au restaurant de la plage. Dépitée devant le manque d’audace de la carte des vins et spiritueux, elle opte pour Le Negroni. Un cocktail composé à parts égales de 3 cl de gin, de Campari et de vermouth rouge, capable de faire oublier Marguerite. Après ces effluves alcooliques, la lectrice décide de prendre un bain. L’après-midi est presque écoulée, la belle lumière du soir s’est installée et les baigneurs se font rares. Elle prend le chemin du camping.

Comme tous les soirs, du haut du pont Monbijou, une foule nombreuse tente de voir la lectrice muée en nageuse. Dans une brasse élégante, elle se laisse porter par le courant. Ses longs cheveux noirs flottent dans l’eau verte.
Comme des milliers de baigneurs, elle perpétue la tradition bernoise de la descente l’Aar, depuis le camping jusqu’au Marzili.

A voir ici

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17 juillet 2018

Un été sans fin - La Blümlisalp

Ça s'est passé un dimanche, un dimanche au bord de l'eau...
Le temps était magnifique, c'était le 1er dimanche de juillet, et, les pieds presque dans l'eau, j'ai regardé passer un magnifique bateau vapeur, La Blümlisalp. C'est toujours un instant furtif et magique. La vénérable dame, née en 1906, fonce à 25 km/h. J'ai filmé...
C'était à Spiez, au bord du lac de Thoune.
ENCORE UN BEAU DIMANCHE

« Escale »

Un été sans fin
Les actualités
"ESCALE"
Arrivée du vapeur historique "La Blümlisalp" à Spiez
Filmé le 1er juillet 2018
Réalisation Jeanjacques666

16 juillet 2018

Un été sans fin - Le Gimlet

Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)

Fernando Saenz Pedrosa 

Elle part !

Peut-être en week-end, peut-être en vacances ? 

Ou juste au bal du 14 juillet...

 Votre avis, lundi !

Dans un shaker rempli à moitié de cubes de glace, verser 6 cl de gin et 4 cl de Rose's lime juice, frapper quelques secondes au rythme d’une samba endiablée et passer dans un verre à martini en retenant les glaçons à l’aide d’une passoire. La passoire qui a servi à réaliser un égoportrait peu de temps avant de concocter un Gimlet. 

En 1953, Raymond Chandler, dans son roman policier « The Long Goodbye » écrit « qu’un vrai Gimlet, c’est une moitié de gin, l’autre moitié de Rose’s Lime et rien d’autre. Cela bat l’apathique martini. »

La légende dit q’Ernest Hemigway se serait damné pour un Gimlet. Peut-être à l’Harry’s Bar à Venise, où Ernest avait sa table...

La gare, construite au milieu de nulle part, entourée de tilleuls et de noyers est en perpétuelle somnolence. Deux quais, face à face, reliés par un passage sous voie peu engagent permettent de gagner la ville, quai 1 ou la mer, quai 2. Il y a longtemps que la compagnie de chemin de fer ne paie plus un chef de gare pour quatre trains par jour. Une billetterie automatique, au logiciel révolutionnaire, propose des billets pour toutes les destinations européennes et même jusqu’à Irkoutsk, en Sibérie orientale, par le transsibérien. La fantaisie des rares voyageurs empruntant cette gare, située en marge de trois bourgs, se limite à la ville voisine. Ils n’ont pas de temps à perdre au bord de la mer à étaler leur chair blanche sur des serviettes de bain, le corps enduit de gras, et d’attendre un rôtissage à point, en se retournant tous les quarts d’heure.

Ce lundi matin, lendemain de la finale du championnat du monde masculin de balle au pied 2018, finale remportée par les Bleus, ce qui a fortement agité l’Hexagone, ce lundi 16 juillet donc, quelques jours avant le 49e anniversaire du premier alunissage de deux hommes, sur l’astre des sélénites, à bord d’un engin extravagant, le LEM (Lunar Excursion Module) dans un lieu propice à la baignade, la mer de la Tranquillité, une seule passagère attend le train. Une jeune fille de seize ans, vêtue d’une robe couleur du ciel en été, d’une jaquette en coton d’un bleu nocturne et chaussée de ballerines noires. Elle tient un sac en jean enjolivé d’une pièce en cuir.

Le train, composé d'un wagon de 1re classe, de deux wagons de seconde classe et d'une motrice fourre-tout s'arrête brièvement en gare. La jeune fille saisit un sac posé sur le quai, son bagage et, à peine installée, le convoi s'ébranle pour la ville.

Ce n'est que plusieurs heures plus tard, alors que la jeune fille, à bord d'un aéronef, immatriculé HB-666 volant vers l'Amérique, que l'on découvre, Au Grand Hôtel, la disparition du précieux cahier de recettes des cocktails. La recette secrète du Gimlet y figure, on vient de loin déguster cette splendeur...

Le cahier, soigneusement emballé, est dissimulé dans le sac de la jeune fille qui part faire fortune en Californie.

La gare est déserte. Un chat se chauffe au soleil. Le prochain train est annoncé à l'heure de la belle lumière du soir... C'est l'été, l'été sans fin...

 

2 juillet 2018

Un été sans fin - Rosās amāmus

Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)

Les roses blanches

Oubliez, s'il vous plait, Berthe Sylva ou Tino Rossi.

Pas de drame, ici !

Au gué, vivent les roses sous la tonnelle !

Un petit tour à Bagatelle ?

Enivrez-vous d'odeurs.

Saisissez l'heure !

Revenez lundi avec un joli bouquet d'idées !

Igor Levashov

Igor Levashov

Rosās amāmus

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

Pour la troisième journée consécutive la bise court sur le Plateau suisse. Elle soulève les jupes des filles, couche les blés presque mûrs, emporte avec elle, dans sa course folle, les parasols mal arrimés et croûte la terre.
Dans la ruelle, abritée par une grande bâtisse, les tilleuls arrivent en fin de floraison. Les narines sont encore chatouillées par ce parfum enivrant qui s’échappe des fleurs. En passant au pied des arbres, on entend un bourdonnement, un grondement sourd. Ce sont des milliers d’abeilles qui, sans relâche, du lever au coucher du soleil, butinent. Le miel d’automne aura des notes de tilleul.

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

Dans la cuisine, la cafetière italienne est sous pression. Sur le poste à galène, Mélina Mercouri égrène  une chanson en grec. Une ritournelle d’un film, oublié, dont elle fut la vedette. La belle lumière du soir s’est installée. Des bulles paressent dans une flûte à champagne. 

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

Quelque part en Russie, dans la surface de réparation d’un stade, l’Uruguay mène 2 à 1 contre la Lusitanie. La rencontre en est à la 75e minute. Tout peut encore basculer et parfois cela se termine par des tirs au but. Cette agitation sportive, qui secoue le globe terrestre, pour autant que la terre soit ronde, certains pensent qu’elle est plate et soutenue par quatre tortues, est nourrie par le championnat du monde masculin de balle au pied, #RussieFIFA2018.

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

Dans le jardin, La Fée des neiges, un cultivar fort répandu de rosier floribunda, est resplendissant. Cré en 1958 en Allemagne par Reimer Kordes, ce rosier a été commercialisé sous le nom de “Schneewittchen”, Blanche Neige. Dans les pays anglophones, ce rosier est connu sous le nom d' "Iceberg". C'est un croisement de "Robin Hood" (1927, Pemberton), hybride de Rosa moschata, et de "Virgo" (1947, Charles Mallerin), hybride de thé. Planté dans le jardin depuis plus de 30 ans, c’est la propriété et l’orgueil de la vieille mégère, apprivoisée depuis le temps, du troisième.

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

Peu à peu le paysage s’assombrit. La nuit tombe. Les chats du quartier partent à la conquête de territoires. Des cris perçants retentissent aux coins des rues. Après la bataille, dans le silence retrouvé, les vaincus, estampillés d’un œil au beurre noir, rentrent penauds au bercail. Ils échafaudent déjà des plans revanchards pour le prochain samedi.

Je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout, je t’aime...

En fin d’après-midi, à l’heure des quatre heures, une tragicomédie en 3 actes, s’est déroulée dans le jardin. Zoé quatre ans a crié “Maman, je t’aime à la folie” en brandissant fièrement les restes d’une rose. Au même moment, un coup de bise plus violent que les autres passa par dessus le mur du jardin. Le courant souleva des centaines de pétales de roses blancs qui jonchaient le sol, tandis que la mégère du troisième tombait en pâmoisons dans un cageot de pommes en murmurant “ma fée des neiges”. Le rosier se balançait, déshabillé de ces fleurs, dans le souffle d’air mourant.

Dans la boîte aux lettres du locataire du premier, dort une carte postale. Le cachet postal, illisible, s’étale en pâté sur un timbre italien.  Sur la photographie, prise d’avion, on voit des parasols alignés qui cachent la plage de sable. La bise n’est pas passée par Rimini. Au dos de la carte, on pourra lire, "Mon cher Franz, je te souhaite un été sans fin. Eva."

25 juin 2018

Un été sans fin - Quoi de neuf?

Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)

couloumy anne francoise la lettre pliee 82

 Anne-Françoise Couloumy

Dans quelques jours, Blondine déménage.

 

Quand on déménage, on trie, on jette, parfois on oublie...

 

Cette fois-ci, la "lettre oubliée" doit être prise au pied de la lettre si j'ose dire !

 

Il s'agit du caractère et non du feuillet !

 

Pouvez-vous écrire une courte histoire sans utiliser la lettre A ?...



Lettre oubliée

Blondine quitte les lieux. Les meubles enlevés, les pièces vides résonnent. Les sols en pont de goélette, cirés, brillent. Les portes ouvertes donnent l’illusion d’infini. Quelques poussières oubliées tournoient, les fenêtres sont ouvertes, le vent s’engouffre. Le long du couloir désert, un clou retient un bélino, coupure d’une vieille revue, qui oscille et tombe, dès qu’une montgolfière survole cette ville construite sur les berges d’une rivière. Une rivière que personne ne nomme. Son nom contient trop de cette première lettre issue d’un idiome teutonique. Sur ce bélino, on distingue cette voyelle, première de cordée, interdite, décret présidentiel numéro 746, imprimé sur une feuille officielle en juin 2018. Il semble que cette  censure d’une voyelle très en vogue, soit orchestrée depuis le blog « En gondole,  L ..! », juste pour rendre dingue les élèves du cours du lundi.
C’est une belle journée, un été infini, merlettes et rouges-gorges expriment leur joie mélodieusement.
L’oubli d’une lettre, consigne imposée pour le devoir du lundi, torture l’esprit, rend folles plume et gomme et me prive de mon petit noir, boisson fétiche qui rythme mes journées. Les T.S.F sont muettes, pour respecter l’ordre de l’institutrice, les orchestres qui font swinguer chôment. Dehors, une belle lumière du soir s'estompe, un bout de lune luit, les félins domestiques feulent.
« Bon congé d’été les juilletistes, ceux du huitième mois seront privés d’oisiveté ! »

11 juin 2018

Un été sans fin - Les affiches

SURPRISE...SURPRISE
Jeudi, de passage à l'aéroport de Genève-Cointrain, pour accueillir de la famille, j'ai passé trois quart d'heure dans la Cité de Calvin. J'ai quitté Genève en 2011, 35 ans après y avoir déposé mes valises.
J'ai effectué un saut de puce jusqu'au lac. Que de changements...
J'ai découvert, à la rue du Cendrier,  les activités secrètes du Goût (ICI), ce bloggeur parisien, adoré par son harem de lectrices. Il nous avait caché qu'il avait pignon sur rue à quelques encablures du Jet d'eau.
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Les affiches
Les 4 premières affiches ont été photographiées à Neuchâtel, dimanche,  et les 2 dernières à Berne, ce même dimanche.
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Les affiches
L'affiche du Bol d'Or à été prise à Genève, jeudi, les autres affiches ont été photographiées à Berne, dimanche.
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CINÉMA

- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.

Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure 

 

GUERRE

Valéry

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