Les mois d’hiver - Zurich
Un ange qui arrive en retard dans les nuages de soleil et qui chante à plein temps pour se coucher tôt.
L’ange de Niki de Saint Phalle veille sur les voyageurs dans le hall de la gare. Il pleut sur la mégapole, il reste quelques monticules de neige. Janvier s'achève dans la débâcle des glaces. Masqué, les gens ne s'attardent pas. Depuis des mois, j'ai l'impression d'être plongé dans un roman de science-fiction !
Les mois d'hiver - Ne regarde pas la vie dans ton rétroviseur ...
Début décembre, j'ai fait plusieurs fois le voyage Berne - Zurich en wagon restaurant. Maintenant, les restaurants sont fermés. Une pandémie en est la cause !
Voici un collage :
ZURICH collage
Filmé à Zurich, Berne les 9 et 12 décembre 2020
images, montage, réalisation Jeanjacques666
Les mois d'hiver - La Mégapole
Le 1er décembre, j'ai enregistré des images de mon passage dans la mégapole. Un vidéogramme en noir et blanc raconte cette journée neigeuse.
Zurich - Un mardi 1er décembre
Carnet vidéo filmé le 1er décembre 2020 à Zurich
Images, montage, réalisation Jeanjacques666
Film en noir et blanc
Muet
Les mois d'hiver - Nuit 13/16 - Quelques oiseaux
Le 24 novembre, j'ai déambulé dans la Mégapole. Il en reste quelques traces, sur un vidéogramme que j'ai réalisé au cours de cette balade zurichoise.
Zurich - La dame aux oiseaux
Zurich - La dame aux oiseaux
Carnet vidéo filmé à Zurich le 24 novembre 2020
Un automne masqué
Réalisation Jeanjacques666
un automne masqué - Zurich
Le 26 octobre, brève escapade dans la Mégapole, pour y filmer l'automne et des canards ...
Zurich "Au chevet de l'automne"
Zurich "Au chevet de l'automne"
"Je dédie ce vidéogramme à Marcel Jordil dit Marcellus (1933 - 10. 11. 2020)
En souvenir du tour du monde que nous avons fait en 1983"
Un automne masqué
Carnet vidéo filmé le 26 octobre 2020
Images, montage, réalisation Jeanjacques666u
Nuit 5/16 - La mégapole
mardi
Balade urbaine dans la Mégapole.
Dans les années septante, l'ONU a fixé le seuil d'une mégapole à 10 millions d'habitants (anciennement 8), Zurich est une mégapolette, une miette de mégapole. J'appelle Zurich la Mégapole car c'est La Ville de ce pays ...
Bu un double espresso au café Schwarzenbach, trouvé des lactaires délicieux dans une épicerie fine.
Zürich
Balade automnale dans la mégapole...
Dimanche gris et frais. Un temps d'arrière automne...
Images d'un voyage dans la mégapole...
Café au wagon restaurant, café à Zurich au TeeCafé, une salle minuscule où l'on boit un délicieux „Jamaica Blue Mountain“ (ICI), café à Berthoud et doppio à l'Adriano's bar à Berne...
Les dernières impressions d'automne flottaient sur l'eau d'une fontaine, tandis qu'une fumée blanche se dissipait dans le ciel bleu de la mégapole,
Dans le ciel de Berthoud, un avion filait droit devant, vers une destination de rêve...
Balade à Zurich
Le brouillard plombe le ciel zurichois d’une chape grise et crue. Des mouettes font des acrobaties au bord de la Limmat. L’une d’elle, le bec encombré d’un morceau de pain sec, défend son bien en poussant des cris stridents. Ce cri de la mouette, si « mélodieux » aux oreilles humaines. Sur le quai passe le Märlitram. A l’intérieur, des enfants serrés sur les deux banquettes écoutent un ange raconte des histoires de Noël. Pour se réchauffer, un espresso bu au Teecafé/Schwarzenbach permet de se glisser dans l’ambiance feutrée de la minuscule salle du café de la Münstergasse…
Café Schwarzenbach, Zurich
La minuscule salle du "teecafé Schwarzenbach" ne désemplit pas. C'est une gageure de trouver une place sur les banquettes de velours grenat, velours élimé par le défilé des amateurs de café ou de thé. Un pouf de même tissu abandonné par un consommateur pressé, tel une bouée dans un naufrage sert de refuge au plus hardi. Un des murs sert d'habitation à un tableau de grande dimension. Un tableau totalement abstrait, où le blanc domine fait face à une pendule anglaise accrochée entre deux fenêtres. La serveuse louvoie entre les clients avec son plateau garni de café, de thé et d'assiettes de pâtisseries. Six lampes aux abats-jours inspirés des années soixante éclairent la salle. Derrière le bar, trois prêtresse s'activent pour le bonheur de leurs hôtes. Les journaux sont en lecture, les conversations feutrées se font et se défont. Au dialecte zurichois se mêlent des bribes de grec dispensées par des voyageurs. A la belle saison, quatre tables installées devant la devanture agrandissent le nombre de places de ce café très prisé.