65e été - La Nati (Nazionale di calcio della Svizzera) joue une partie de balle au pied à Rome. Elle affronte la Squadra Azzurra
Un doppio versé sur des cubes de glace, rien de plus raffraichissement par une chaleur de 29 degrés. Photographie prise vers 15 heures à l'Adriano's bar.
À Rome, le premier but a été annulé. Faute de mains. La Nati respire.
Quelques minutes plus tard,nouveau but de la Squadra Azzurra, qui est cette fois homologué !
Il est temps de changer d'horizon, Les Noces de Figaro sont diffusées sur la chaîne Mezzo ... Une production de l'Opéra Royal de Wallonie-Liège 2018.
Nuit 6/12 - Du concentré de Mozart
Joseph Lanner est un compositeur, violoniste et chef d'orchestre autrichien, né le 12 avril 1801 et mort le 14 avril 1843. Il est particulièrement réputé pour avoir écrit plusieurs centaines de danses pour orchestre, dont au moins 200 valses, qui ont fait de lui, avec Johann Strauss I, le précurseur de la valse viennoise.
Joseph Lanner - Die Mozartisten - Walzer, Op. 196
Un été sans fin - Mozart
Un foyer orageux croisait au large de la Ville fédérale en fin d'après-midi, depuis une semaine, c'est un scénario immuable. Un voyageur a raconté que, jeudi passé, la vallée de Elay, dans la Jura bernois, était blanche de grêle, que tout était haché.
Spleen...
Mozart...
Grande messe en ut mineur - W.A. MOZART (1756-1791) / Arsys Bourgogne et Camerata Salzburg
Wolfgang Amadeus MOZART (1756-1791)
Grande messe en ut mineur
27 août 2011 | Vézelay, basilique Sainte-Marie-Madeleine
lors des Rencontres Musicales de Vézelay
choeur : Arsys Bourgogne
orchestre : Camerata Salzburg
soprano : Dorothee Mields
alto : Marianne Beate Kielland
ténor : Markus Schäfer
basse : Tijl Faveyts
direction : Pierre Cao
Captation vidéo Zycopolis Productions en coproduction avec France Télévisions, Mezzo et Lyon TV
La belle lumière du soir
Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)
La vie est un roman.
Gueorgui Pinkhassov - 1996. Cafe Paris
Devoir :
1) Commencez impérativement votre texte par la phrase suivante : "Notre première expérience, chose remarquable, est celle d'une disparition." Emprunt à Lou qui nous raconte sa Vie.
2) Terminez impérativement votre texte par la phrase suivante : "Referme un instant sur le monde la porte et la fenêtre, tourne-toi vers le journal pour toutes ses notations musicales, et commence un autre roman." Emprunt à Anaïs qui écrit son Journal.
Entre les deux, casez ce que vous voulez !
Votre roman, lundi.
"Notre première expérience, chose remarquable, est celle d'une disparition."
Cette phrase, écrite à l‘encre bleue royale, sur un morceau de feuille à gros carreaux, venait de choir sur la table, poussée là par un vent saharien. Il n‘est pas rare que l‘Afrique s‘invite jusqu’à la Ville fédérale. Le ciel est jaunâtre et le capot des voitures devient un désert. On y voit quelques chameaux blatérer dans des oasis luxuriantes. Les stations de lavage de voitures font fortune en ces périodes de dunes. Ce phénomène météorologique n‘altère en rien la belle lumière du soir. Anaïs, assise à la terrasse de l‘Adriano‘s bar, compulse un dossier. Elle a saisi le billet tombé du ciel et l‘a calé sous son verre. Elle boit une Gazosa, limonade fabriquée à Mendrisio, au Tessin, depuis 1883. Trams et bus passent, ainsi que quelques voitures. Des piétons traversent la rue. D‘une fenêtre ouverte, s‘échappe l‘adagio de "La Gran partita“. Mozart, lors de son voyage de retour de Paris, a séjourné à Berne et y a donné un concert, avant de regagner Salzbourg. Cette musique pour treize instruments à vent et contrebasse se fond harmonieusement dans la belle lumière du soir. Le soleil diffuse cette lumière magique, peu avant son coucher, en toute saison. C'est un moment où le temps semble suspendu, où tout semble permis, comme dans la chanson de Brel, "Les timides", ces timides qui tissent des projets fantastiques, et puis tout retombe, le soleil se couche.
A côté d'Anaïs, un client est plongé dans la BZ*. Il est vêtu d'une chemise à manches courtes. A son poignet gauche, il porte une Vénus. Cette marque de montres à été fondée à La Chaux-de-Fonds, en 1912. Il lit un article sur les réseaux sociaux, sur les gens qui livrent leurs données personnelles à des entreprises américaines sans penser aux conséquences.
L'automne particulièrement chaud permet, en cette mi-octobre, de rêvasser sur les terrasses des cafés en assistant au coucher du soleil. La chaleur arrive du désert du Sahara. Une fine poussière de sable signale ce fait, que relaye également la BZ. Un groupe de jeunes, des élèves de l'école française, passent en faisant des égoportraits avant de les expédier au moyen de leur téléphone portable. Ils ne se soucient pas des entreprises américaines qui pompent leur vie privée. Ils ne connaissent pas Lou, la dame de la phrase écrite sur un morceau de feuille à gros carreaux. "On s'en bat les couilles", martèlent-ils.
Anaïs, sort de son sac à main, un crayon à papier et un taille-crayon en forme de mappemonde. En taillant son crayon, elle fait tourner la terre. Les spécialistes des sciences de la terre sont inquiets. Jusqu'à présent, il y a en permanence quelqu'un qui taille un crayon, quelque part sur le globe terrestre. La rotation de la terre sur elle-même est régulière, avec l'apparition des écrans et des claviers, la rotation de la terre va à vau-l'eau.
Elle saisit le morceau de feuille à gros carreaux, le retourne, griffonne une phrase et un coup de vent saharien emporte le bout de papier. Un astronome qui scrute l'infini au moyen d'une longue-vue voit passer au ralenti, 48 images seconde, le texte d'Anaïs. Il lit ceci, "Referme un instant sur le monde la porte et la fenêtre, tourne-toi vers le journal pour toutes ses notations musicales, et commence un autre roman."
*BZ, Berner Zeitung
Mozart / Serenade for 13 Winds in B-flat major, K. 361 "Gran Partita" (Mackerras)
Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)
Serenade No. 10 for 13 Winds in B-flat major, K 361/370a "Gran Partita" (1781-82)
00:00 - Largo. Allegro molto
09:14 - Menuetto - Trio I - Trio II
19:31 - Adagio
25:02 - Menuetto. Allegretto - Trio I - Trio II
30:24 - Romanze. Adagio - Allegretto - Adagio
37:45 - Thema mit Variationen
47:18 - Rondo. Allegro molto
List of Performers:
Oboe - Stephen Taylor (principal) & Melanie Field
Clarinet - William Blount (principal) & Daniel Olsen
Bassett Horn - Gary Koch (principal) & Mitchell Weiss
Horn - Stewart Rose (principal), Scott Temple, William Purvis, and Russell Rizner
Bassoon - Dennis Godburn (principal) & Marc Goldberg
String Bass - John Feeney
Performed by members of the Orchestra of St. Luke's under the direction of Sir Charles Mackerras. Recorded by Telarc in 1994.
Nuit 7/9 - Mozart
Abendempfindung
Abend ist's, die Sonne ist verschwunden,
Und der Mond strahlt Silberglanz;
So entfliehn des Lebens schönste Stunden,
Fliehn vorüber wie im Tanz.
Bald entflieht des Lebens bunte Szene,
Und der Vorhang rollt herab;
Aus ist unser Spiel, des Freundes Träne
Fließet schon auf unser Grab.
Bald vielleicht (mir weht, wie Westwind leise,
Eine stille Ahnung zu),
Schließ ich dieses Lebens Pilgerreise,
Fliege in das Land der Ruh.
Werdet ihr dann an meinem Grabe weinen,
Trauernd meine Asche sehn,
Dann, o Freunde, will ich euch erscheinen
Und will himmelauf euch wehn.
Schenk auch du ein Tränchen mir
Und pflücke mir ein Veilchen auf mein Grab,
Und mit deinem seelenvollen Blicke
Sieh dann sanft auf mich herab.
Weih mir eine Träne, und ach! schäme
dich nur nicht, sie mir zu weihn;
Oh, sie wird in meinem Diademe
Dann die schönste Perle sein!
Ce texte ne peut pas être traduit. Il existe des traductions, mais elles ne peuvent rendre la beauté du propos.
Les Lieder, en général, perdent beaucoup de leur poésie en étant traduit.
"Abendempfindung" parle de la tristesse au soir d'une vie.
Léopold Simoneau; "Abendempfindung" Wolfgang Amadeus Mozart
Leopold Simoneau--Tenor
John Newmark--Piano 1956
Elisabeth Schwarzkopf 1953 (Gerald Moore, piano) Campe-Mozart "Abendempfindung" Sung in German
Campe-Mozart Abendempfindung K.523
Elisabeth Schwarzkopf 1953
Gerald Moore, piano
Condor est une entreprise de cycles, motocycles et construction mécanique à Courfaivre, Suisse. L'entreprise a cessé la fabrication de bicyclettes à la fin des années 1990.
En 1900, l'entreprise occupe 17 ouvriers, près de 300 en 1950, 128 en 1975 et 60 en 2000.
Jazz
Tout commence par un air de Mozard, joué par Glenn Gould. C'est délicat, magnifique; l'ivresse musicale se poursuit donc, sans fin. On a envie de commander un piano par correspondance et de se faire livrer l'instrument sur le champ. Ensuite, il faudra apprendre le solfège et le maniement de ce piano à queue qui occupe tout l'appartement... Pour l'instant, Glenn joue, joue, joue...
Si, dans la cuisine, le tempo de Glenn ravi un public trié sur le volet, une mouche, égaré au creux de l'hiver, une cafetière italienne et un rêveur qui rêvasse sur le clavier de son ordinateur, le public des salles ovationne un pianiste qui joue à 100 KM/H; il lui faut du tempo d'origine à ce public. Écoutons donc Lang Lang.
Il s'agira ensuite d'apprendre au moyen d'un tutoriel, que l'on aura pris soin de placer devant le clavier et de suivre les indications. Au début, il sera préférable d'actionner la touche "ralenti", sinon la musique de démonstration sera achevée depuis une semaine, et l'on en sera toujours à la première mesure...
On se penchera ensuite sur la partition pour tenter de déchiffrer toutes ces notes. Comment faire correspondre chaque note aux touches du piano qui s'impatiente, qui attend de montrer ses capacités. Les chats du quartier se bouchent les oreilles en prévision d'un cataclysme sonore.
Hors de la cuisine, je n'ai convaincu personne avec cette version lente, Mozart façon Bach, jouée par Gould. Tant pis, n'en parlons plus... ICI
Glenn Gould- Turkish March
Mozart - Turkish March by LANG LANG
Summer Night Concert 2014 The Vienna Philharmonic Christoph Eschenbach & Lang Lang
Mozart - Turkish March (Rondo Alla Turca) - Piano Tutorial by PlutaX - Synthesia
Turkish March (Rondo Alla Turca) Piano Sonata No. 11 K. 331 Movement 3 - Wolfgang Amadeus Mozart
Samedi soir, c'est jazz...
Biréli Lagrène est un guitariste de jazz français né le 4 septembre 1966 à Soufflenheim dans le Bas-Rhin en Alsace dans une famille de tradition manouche.
Biréli Lagrène - Standards (1992) [Full Album]
Standards is a studio album by French jazz guitarist Biréli Lagrène. It was released in 1992 by EMI.
Tracklist
01. C'est si bon - 00:00
02. Softly, As in a Morning Sunrise - 06:43
03. Days of Wine and Roses - 12:24
04. Stella by Starlight - 17:45
05. Smile - 23:47
06. Autumn Leaves - 29:46
07. Teach Me Tonight - 34:43
08. Donna Lee - 40:45
09. Body And Soul - 45:49
10. Ornithology - 53:08
11. How Insensitive (Insensatez) - 57:34
12. Nuages - 01:04:46
Musicians
Biréli Lagrène : guitar
André Ceccarelli : drums
Niels-Henning Ørsted Pedersen : double bass
George Benson est un guitariste, chanteur, et compositeur de jazz né le 22 mars 1943 à Pittsburgh en Pennsylvanie aux États-Unis.
George Benson - Breezin' (Full Album) (Vinyl)
George Benson
Full Album
"Breezin'"
Warner Bros. Records
Side One
1. "Breezin'" Bobby Womack 5:40
2. "This Masquerade" Leon Russell 8:03
3. "Six to Four" Phil Upchurch 5:06
Side Two
1. "Affirmation" José Feliciano 7:01
2. "So This is Love?" Benson 7:03
3. "Lady" Ronnie Foster 5:49
The Lounge Lizards (ICI)
The Lounge Lizards - The Lounge Lizards (1981) full album
Vinyl, LP, Album, US - 1981
Editions EG — EGS 108
1080p
00:00 - - - A1 — Incident on South Street (J. Lurie) . . . (3.27)
03:28 - - - A2 — Harlem Nocturne (Earle Hagen) . . . (2.08)
05:35 - - - A3 — Do The Wrong Thing (J. Lurie, S. Piccolo) . . . (2.45)
08:17 - - - A4 — Au Contraire Arto (J. Lurie) . . . (3.30)
11:44 - - - A5 — Well You Needn't (Thelonious Monk) . . . (1..57)
13:43 - - - A6 — Ballad (J. Lurie) . . . (3.30)
17:09 - - - A7 — Wangling (J. Lurie) . . . (3.05)
20:05 - - - End Side a)
20:27 - - - B1 — Conquest Of Rar (A. Fier, E. Lurie, J. Lurie) . . . (3.21)
23:44 - - - B2 — Demented (J. Lurie) . . . (2.05)
25:50 - - - B3 — I Remember Coney Island (J. Lurie) . . . (3.35)
29:21 - - - B4 — Fatty Walks (J. Lurie) . . . (3.00)
32:18 - - - B5 — Epistrophy (Thelonious Monk)) . . . (4.21)
36:33 - - - B6 — You Haunt Me (J. Lurie) . . . (3.45)
40:10 - - - End Side b)
John Lurie - Saxophone
Evan Lurie - Keyboards
Steve Piccolo - Bass
Arto Lindsay - Guitar
Anton Fier - Drums
Producer - Teo Macero
Recorded at CBS Recording Studios in New York on July 21-22, 28-29 1980.
Mixed at CBS Recording Studios in New York on August 6, 14-15 1980.
℗ & © 1981 EG Records Inc.
Printed in U.S.A.
Soir de première...
Dimanche 4 février 2018
17:02, le train quitte la gare de Berne, à destination de Zurich. Double espresso au Bistro, au rez-de-chaussée du wagon situé au milieu du train.
17:58, arrivée dans la mégapole. Il fait nuit et froid. Marche rapide. Tram.
18:15, arrivée à l'opéra.
19:00, l'orchestre attaque en 440MHZ l'ouverture d'Idomenee.
Ce soir, c'est la première d'Idomenee, Roi de Crète, de Mozart. Tout le gratin zurichois, vêtu de noir se presse dans la salle. Un beau théâtre à l'italienne. Les voix sont belles et prennent de l'assurance au fil du récit. Le coeur, qui joue un rôle important, chante sans faille. Le décor est sobre, la mise en scène efficace. Violence.
Vers 20:40, c'est l'entracte. Le rideau de scène reste ouvert, des guéridons sont installés, des bougies posées dessus. Les spectateurs envahissent les bars du théâtre.
Le drame reprend.
Quand le rideau tombe, le public fait une ovation aux coeurs, chanteurs, chef d'orchestre et au décorateur, metteur en scène, chef du coeur.
Course dans la nuit glaciale jusqu'à la gare. Un café en attendant le train de 23:01 pour le retour dans la Ville fédérale, et la musique de Mozart plein la tête.
Comptine
LE BOIS DE LA CAMBRE*
En décembre
Au Bois de La Cambre
Errait Marie
Dans les brunes prairies
Joseph marchait à pas lent
Dans les allées du Bois de la Cambre
Sa silhouette et son pas nonchalant
Attirèrent Marie dans sa chambre
Entre un âne et un boeuf
Naquit un petit enfant
Pauvres, ils le nourrirent d'un oeuf
L'enfant eut un sourire charmant
C'est en décembre
Au milieu du Bois de la Cambre
Où déballe ses cadeaux Joël
Que l'on fête Noël
*Parc public à Bruxelles
NOTE:
Une petite comptine de Noël, inspirée par la consigne de Lakevio, pour le devoir du lundi. Comme on dit dans les téléréalités pâtissières ou gustatives, je suis totalement hors sujet. Il fallait une rime à notre choix tirée sur 13 lignes. Après deux lignes, ma plume vagabondait hors des clous. C'est un cousin bruxellois qui m'a fait découvrir le bois de la Cambre, à la fin des années septante.
Wolfgang Amadeus Mozart - Trio pour piano, clarinette et alto "Kegelstatt", KV 498, en Mi bémol majeur
Talalyan Brothers Festival-2013
Lusine Hakobyan-piano, Vadim Lando-clarinette, Yana Daryan-alto
Écran de fête - Samedi soir
Dimanche soir, en rentrant d'une escapade à Interlaken, une petite assiette contenant des biscuits de Noël, attendait devant la porte de l'appartement. Ce sont les enfants du rez-de-chaussée qui ont déposé cette petite surprise.
Jeudi, il est tombé à Berne et dans la campagne 50 litres au mètre carré d'eau; une pluie diluvienne. L'aller et retour à Berthoud, sur le coup des 19.30, n'a pas été de tout repos. La circulation était assez difficile.
Samedi, vu dans une librairie, un essai sur Houellebecq. L'écrivain, poète et essayiste français est très connu en Suisse alémanique
Le mélange de thé proposé pour le 16 décembre, dans le calendrier de l'Avent : Menthe pomme, mélisse citronnée, menthe poivrée, mauve bleue, marguerite, souci, bleuet.
Beethoven - Turkish March (arr. for 8 pianos; Larrocha, Bolet, etc.)
2 représentations successives de la Marche turque de Ludwig van Beethoven de "Die Ruinen von Athen", arrangée par Richard Blackford pour 8 pianos. Interprété par Gina Bachauer, Jorge Bolet, Jeanne-Marie Darré, Alicia De Larrocha, John Lill, Radu Lupu, Garrick Ohlsson et Bálint Vázsonyi lors d'une extravagance pianistique gargantuesque à Londres en 1974.
S'il vous plaît, noter que la 2ème performance n'est pas une vidéo de déchiquetage, ces grands pianistes jouaient réellement ce que vous entendez!43 ans plus tard, pourrait-on réunir 8 pianistes connus pour jouer une extravagance pianistique gargantuesque?
Les cigales Conte de Noel
Conté par Jean Lambert
Laudate Dominum (Mozart) | boy soprano Aksel Rykkvin (13 years)
Laudate dominum, extrait de Vesperae solennes de confessore (K. 339) de Wolfgang Amadeus Mozart
Aksel Rykkvin (aigus)
Oslo Domkor / Choeur de la Cathédrale d'Oslo
IRIS kammerorkester / Orchestre de chambre IRIS
Vivianne Sydnes (chef d'orchestre)
La performance faisait partie de "Desembertoner", qui sont des concerts de Noël gratuits avec des artistes populaires dans la cathédrale d'Oslo, parrainé par Nordea. Enregistrement en direct le 16 décembre 2016. Diffusé sur Norwegian TV2.
JAZZ
Latin Kick est un album studio de la discographie de Cal Tjader enregistré en 1956 avec une formation quintet et sextet. Il est sorti en 1956 et contient le single « Moonlight in Vermont », les reprises arrangées à la sauce latin jazz des titres « September Song », « I Love Paris », « All the Things You Are ». On remarquera aussi 2 de compositions originales de Cal Tjader. (Wikipédia)
Cal Tjader - Latin Kick (1958) Full vinyl LP
A1) Invitation 0:00
A2) Lover come back to me 4:13
A3) September song 7:55
A4) Will you still be mine 10:54
A5) I love Paris 14:22
B1) Tropicana 20:15
B2) Moonlight in Vermont 23:28
B3) Bye bye blues 26:25
B4) Manuel’s mambo 30:02
B5) All the things you are 33:19
B6) Blues from Havana 37:27
Cal Tjader (né Callen Radcliffe Tjader Jr.) était un musicien de latin jazz américain né le 16 juillet 1925 à Saint-Louis (Missouri) et décédé le 5 mai 1982 à Manille (Philippines) d'une attaque cardiaque à presque 57 ans. Il jouait du vibraphone mais aussi de la batterie, des percussions et du piano. Il a travaillé avec de nombreux musiciens dont Mongo Santamaria ou Willie Bobo. Sa spécialité était d'associer des percussionnistes afro-cubains et une section de jazz. (Wikipédia)
Nuit 12/16 - Paris 2/5 Arpenter Paris, Mozart
Mardi 5 décembre 2017
Ça commence vers 10:30, sous un ciel gris, dans le froid, à pied. Rue Oberkampf, avenue Parmentier, rue Alibert, quai de Jemmapes, rue des Recollets, (au large de la gare de l'Est), boulevard de Magenta, (gare du Nord), boulevard de Barbes, rue Custine, rue Becquerel, rue Lamarck, rue du Chevalier de la Barre, rue du Cardinal Guilbert, rue Azais, Place du Tertre, rue Norvins, rue Lepic, rue Caulaincourt, boulevard et Place Clichy, boulevard des Batignolles, rue du Rocher, rue de Monceau, boulevard Malesherbes, avenue Velasquez, allée Comtesse de Ségur ( dans le parc Monceau), avenue Hoche, avenue des Champs Elysées, avenue Montaigne, cours Albert 1er, cours de la Reine, Place de la Concorde, rue Royale, boulevard de la Madeleine, boulevard des Capucines, Place de l'Opéra. (pour des raisons d'horaire, retour à la rue Oberkampf en métro no 3, direct, arrêt Parmentier), rentré à 17:30. 1h15 de pause en deux partie et quelques station de métro, soit 5h45 de marche.
Au fil de la balade, on passe d'un Paris populaire à un Paris villageois puis le Paris chic
Le cris des mouettes du quai de Jemmapes me renvoie aux mouettes qui suivent la charrue en quête de vers, lors des labours dans mes campagnes.
Le canal Saint-Martin évoque Venise.
En passant pas très loin de la Place Raoul Follereau, j'ai eu un souvenir d'écolier. Notre classe, en 1971 ou 1972, avait assister à un conférence, à la Maison du Peuple à La Chaux-de-Fonds, de ce journaliste écrivain qui récoltait de fonds pour lutter contre la lèpre.
Boulevard de Barbes, un bug, une embrouille, un accroc à l'itinéraire, je m'évapore une petite demi-heure dans une grande surface avec espace librairie. Je ne peux pas résister, c'est une chaîne, il faudrait pas, mais je sors de là avec 3 livres.
Au début de la rue Custine pause. Café (d'assez bonne tenue) servi avec un verre d'eau et un sandwich au pâté. Ecriture et lecture.
Rue Becquerel, je monte les escaliers de la Butte au pas de course.
J'ai toujours aimé la vue et l'ambiance du Parvis du Sacré Coeur.
La Place du Tertre, je l'ai vue pour la première fois en 1968 ( j'avais 11 ans)!
La rue Caulaicourt passe au-dessus du cimetière Montmartre. C'est une passerelle en fer, on voit au loin La Dame de fer, un morceau, le haut.
En 1968, avec mon frère et ma soeur, nous avions fait une balade sur des ânes, sans doute au parc Monceau. Aujourd'hui, je n'ai pas vu d'équidés. Mais une belle collection d'arbres aux essences multiples.
Une mendiante se fond, avenue Hoche entre les grosses voitures et les palaces. Nous arrivons dans un autre monde.
Les Champs, c'était sympa en 1975...
J'ai toujours aimé la Place de la Concorde. Dans mes rêves, je descends au Crillon...
J'ai connu le vrai Olympia, boulevard des Capucines. J'y ai vu trois soectacles. En 1975, Monsieur 100.000 Volts, en 78 ou 79 Véronique Sanson et début des années 1980, Paolo Conte.
Opéra, il y a une dizaine d'année j 'ai vu La Flûte enchantées de Mozart à Garnier. La grève, je ne sais plus quel corps de métier, empêchait la mise en scène et les décors. On a pu se concentré sur le chant et la musique.
Hasard, ce soir c'est aussi Mozart. Je partage une baignoire avec deux chinois, un abandonnera à l'entracte, deux anglais, un espagnol et deux français. Baignoire intercontinentale. Il y avait du monde dans le bain.
On jouait La Clémence de Titus de Mozart.
Après avoir écouté pendant des mois de la musique compressée, il faut quelques minutes pour remettre les paramètre du son pur, sans micro et autres techniques, à niveau.
Sur scène (à Genève, Vienne et Paris) j'ai vu Les Noces (plusieurs fois), Don Giovanni, La Flûte (plusieurs fois), l'Enlèvement et le Cosi (plusieurs fois). Je ne connaissais pas, à part quelques airs, la Clémence de Titus. J'ai eu un choc musical. C'est un Mozart différent, magnifique.
Le "Parto, parto" (acte 1), soutenu par la clarinette était un moment hors du temps, un instant magique, j'en avais les frissons.
Un coup de foudre pour cet opéra.
Le public a été très chaleureux à la fin du spectacle.
La une du journal "Le Monde", annonce la mort de Jean D'Ormesson.