Rêveries

Un passage dans la capitale pour boire un doppio
(2h1/2 de transports en commun pour un doppio à 6,30 CHF !!!)
Exceptionnellement, aujourd'hui, ce fut un doppio cappuccino

La librairie Stauffacher, dédie toute sa devanture à Kafka. L'écrivain est mort il y a 100 ans. J'ai scruté avec envie cette vitrine. Beaucoup de biographies et tous les romans de Franz. Hélas, je ne suis pas prêt pour lire Kafka dans le texte, pas plus que les biographies et essais présentés, j'irai tout de même jeter un œil.

Le petit village dans les montagnes en fin d'après-midi
L'affiche annonce un concours de vaches demain a Unterseen

Bref passage à Lignières

L'hôtel de Commune
La décoration pascale dans le centre du village

Le décor dans la maison familiale

Quelques heures passées dans la Ville fédérale
L'incontournable doppio au Versa bar
Le bouquet du Versa, beau comme toujours

Le décor aux alentours du Versa bar

Brunngasse

Un des nombreux « passages secrets » de la vieille ville :
Schlossergässchen

Les nouvelles ne sont pas bonnes...

Sur le chemin du retour, le Niesen vu depuis le train

Le menu du souper
Pigeon en cocotte
Champignons shi-take
Patates douces violettes en chips, à la poêle

Le föhn se déchaîne dans les Alpes
Des poussières du Sahara troublent ciel et paysages

Photographie : Le Niesen vu du train

BERNE

Brève pause au Versa bar pour un doppio

La roseraie 

Les cerisiers du Japon sont en fleur

En attendant les roses… 

Un air de Pâques dans le petit village dans les montagnes

Le Niesen, pyramide plantée au bord du lac de Thoune
Montagne mythique
Hodler et Klee ont, chacun dans leur style, immortalisé le Niesen
Je suis monté deux fois au sommet, 5 heures de marche
Descente en funiculaire, un funiculaire en deux tronçons, 
un tracé très raide

Photographie
Ce matin aux alentours de huit heures quinze, le Niesen vu du train qui se dirigeait en direction de la Ville fédérale

BERNE

À quelques encablures du Versa bar, un marcheur particulier…

Tiens ! C'est bientôt Pâques

L'incontournable doppio au Versa

Dans la vieilles ville

Sur le chemin du retour

Faulensee
Les nuages à Interlaken
Retour dans le petit village dans les montagnes, l'Augstmatthorn dans toute sa splendeur.

Berne
23 mars 2024

Midi trente-six minutes
Versa bar
Un doppio
Un livreur dépose un bouquet tout frais dans un coin du bar ; composé de tulipes, camaïeu rose et blanc, et de branches de cerisier en fleur
AnnenMayKantereit inonde l’espace d’un rock alternatif
Des bribes de ciel bleu sont visibles entre les toits
Un courant d’air frais et vigoureux agite la Ville fédérale, vent d’ouest

« Ebrio de trementina y largos besos »

Jean-Jacques

Arrêt surprise à Spiez

Le château, la gare, les nuages…

De retour dans le petit village dans les montagnes, observer le ciel plein de neige… 

Ce matin, brève balade dans le centre de Neuchâtel.

Avant de prendre le car pour le petit village dans les montagnes, j'ai observé le ciel au-dessus d'Interlaken.
On croyait voir la mer.

Arrivée au village en fin d'après-midi. Près de l'arrêt du car des veaux se chamaillaient. 

De passage dans la Ville fédérale, le temps de boire un doppio, entre deux trains, dans l'annexe de l'Adriano's bar située dans la gare

L'île Saint-Pierre au milieu du lac de Bienne vue depuis le train. Rousseau y vécu quelques semaines en 1765.

 

« Quand le soir approchait je descendais des cimes de l'île et j'allais volontiers m'asseoir au bord du lac dans quelque asile caché ; là le bruit des vagues et l'agitation de l'eau fixant mes sens et chassant de mon âme toute autre agitation la plongeaient dans une rêverie délicieuse où la nuit me surprenait souvent sans que je m'en fusse aperçu. Le flux et le reflux de cette eau, son bruit continu mais renflé par intervalles frappant sans relâche mon oreille et mes yeux suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser. »

— Jean-Jacques Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire, « Cinquième promenade ».

Le jardin de Lignières ce jeudi, dans la belle lumière du soir.

Les nuages flottent au-dessus du village des vacances de mon enfance.
 

L'étranger

— Qui aimes-tu le mieux, homme énigmatique, dis ? ton père, ta mère, ta sœur ou ton frère ?
— Je n’ai ni père, ni mère, ni sœur, ni frère.
— Tes amis ?
— Vous vous servez là d’une parole dont le sens m’est resté jusqu’à ce jour inconnu.
— Ta patrie ?
— J’ignore sous quelle latitude elle est située.
— La beauté ?
— Je l’aimerais volontiers, déesse et immortelle.
— L’or ?
— Je le hais comme vous haïssez Dieu.
— Eh ! qu’aimes-tu donc, extraordinaire étranger ?
— J’aime les nuages… les nuages qui passent… là-bas… là-bas… les merveilleux nuages !

Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1869

Les trouvailles dans la boîte à livres

Le mythique Niesen vu du train
Vitre sale, mauvais café au wagon-restaurant
Il fait beau temps

Berne
Enfin un bon café !
Doppio au Versa bar
Un bouquet printanier trône dans un coin du bar

Sur la place de la gare, les magnolias de Corée déploient leurs fleurs

Sur le chemin du retour
Les Alpes vues à travers la vitre d'un wagon de chemin de fer

Les petit village dans les montagnes en fin d'après-midi

Dans cette maison habite une famille nombreuse

préparation du souper…

Croquées depuis un wagon de chemin de fer, ce matin aux alentours de huit heures, les rives du lac de Thoune, entre Interlaken et Spiez, étaient belles...

À Berne, dégustation d'un doppio dans l'annexe de l'Adriano's bar, sise dans la gare…