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Rêveries
4 juillet 2017

L'été russe - Mémoires

Il y a 169 ans, meurt à Paris François René, homme politique et écrivain. C'était le 4 juillet 1848.
Il est temps de relire Lucile. Un portrait magnifique que fit le vicomte de sa soeur. Mon passage préféré des Mémoires d'outre-tombe... J'y associe l'andante du concerto pour piano No 21 de Mozart.

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8 février 2017

Max

C'était un matin, vers 5h30, sur Espace2, j'avais aimé "Romance pour violon et orchestre" du compositeur et violoniste norvégien Christian Sinding (1856-1941)

Plus tard
Je lis à dose homéopathique le journal berlinois, 1973-1974, de Frisch.  En plus du marque-page,  il y a des post-it jaunes, couleur d'un certain chat..., qui bordent les pages.
Il note, le 15 fév. [1973]
 " Le livre, parmi les nouveautés, qui m'a récemment fait la plus grande impression: LE MALHEUR INDIFFERENT de Peter Handke. Un virtuose, on l'a su très tôt, mais voilà tout à coup qu'il a quelque chose à communiquer ( de sorte que je ne me demande plus pourquoi je lis), et cela aussi, très tôt: Handke a trente ans."

26 novembre 2016

Nouveautés littéraires

Hier, lors de mon passage à La Chaux-de-Fonds, la ville de mon enfance, je n'ai pas résisté, j'ai couru à La Méridienne. Une librairie indépendante, qui a pignon sur rue depuis 20 ans. Elle est installée près de la Place du marché. Je voulais acheter "Journal berlinois 1973-1974" de Max Frisch, traduit de l'allemand par Camille Luscher aux Éditions ZOÉ. C'est sorti en octobre. Finalement, j'ai encore pris trois autres nouveautés, sorties entre septembre et novembre; Une vie de facteur, de Jean-Jacques Kissling, L'élève Gerber de Friedrich Torberg et Trois saisons à Venise de Mathias Zschokke. C'est rare que je me procure les dernières parutions qui inondent les librairies. En revanche je ne résiste pas d'aller rêvasser dans les librairies qui sont sur mon chemin. Pour la lecture, je pioche dans ma bibliothèque. Constituée il y a plus de 20 ans, je suis toujours un peu en décalage. Pour faire vivre les livres, il faut les lire et le relire…

23 novembre 2016

Coupure de presse

Le journal berlinois, de Max Frisch, vient de paraître en français chez ZOÉ.
Le quotidien Le Temps a consacré un article à cet événement, samedi 19 novembre 2016 dans son supplément littéraire.
(La photo est "découpée" dans cet article)

Par ces nuits froides de Fin des temps, la musique de Mozart réjoui les âmes. Par exemple, le concerto pour piano No 21 K.467 dans la version Pollini - Muti et l'orchestre philarmonique de la Scala, en 2004. ( http://youtu.be/i2uYb6bMKyI )

Mozart: Piano concerto n. No. 21 in C major, K.467 Pollini-Muti

Orchestra filarmonica della Scala
Maurizio Pollini
Riccardo Muti
2004

 

23 avril 2016

Lecture

Romans et récits lus pendant le premier trimestre 2016

Le crime du comte Neville, Amélie Notomb, Editions Albin Michel 2015
L'Or de Chasseral, Hugues Richard, Nouvelle Revue neuchâteloise (nrn) Neuchâtel 2003
Extérieurs à Venise, Frédéric O'Brady, Editions Gallimard 1950
Pour Isabelle, Antonio Tabucchi, Editions Gallimard "Du monde entier" 2014
Jean-Christophe volume 1: L'aube, Romain Rolland, Editions Albin Michel 1948
L'année du jardinier, Karel Capek, Editions 10/18 "domaine étranger" 2000
Loin des bras, Metin Arditi, Editions Actes Sud 2009 ***
Pour mourir en février, Anne-lise Grobéty, Editions 24 heures "collection écrivains" 1984 ***
Le guerrier de cristal, François Cérésa, Editions Robert Laffont 1991

*** coup de coeur

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5 février 2016

Longtemps, je me suis couché de bonne heure

Un documentaire qui donne envie de lire "A la recherche du temps perdu"...
Longtemps, je me suis couché de bonne heure.

Marcel Proust, du côté des lecteurs

25 juillet 2015

Un été aigre-doux, quelques nouvelles

"Première neige sur le Mont Fuji", six morceaux de vie qui se déroule au Japon quelques années après la guerre, écrits par Yasunari Kawabata (Éditions Albin Michel).
Quand je voyage en train, je capte parfois des moments de vie de voyageurs bavards. Entre deux gares, alors que le train file dans la campagne estivale ou automnale, des brides de vie, sans début avec une fin à imaginer sont égrenées par un monsieur à chapeau qui téléphone en parlant un peu fort ou deux dames assissent en face de moi qui parle bas mais dont on entend tout de même les propos. L'arrêt du train interrompt les récits qu'il faut alors compléter par son imagination.
Les six nouvelles de ce recueil, ressemblent à ces récits entendus dans les wagons. Ils nous plongent dans l'intimité de couples, familles ou personnes solitaires. On s'installe dans l'histoire, on se sent bien et déjà il faut quitter ce cocon soyeux. La gare arrive! Un goût suave nous envahi. Sur le quai, il ne reste plus qu'à imaginer la suite du récit tandis que le train repart.
J'ai particulièrement aimé "Une rangée d'arbres" (texte de 1958). Un recueil de nouvelles à lire durant l'été.

Capture

14 novembre 2013

Longtemps je me suis couché de bonne heure.

« Longtemps, je me suis couché de bonne heure », l'une des phrase les plus célèbre de la littérature française.

Extraits d'un article paru dans "Le Temps" du 10.10.13 consacré à la sortie, il y a cent ans du roman "Du côté de chez Swann" de Marcel Proust. Ce roman est le début de "A la recherche du temps perdu". Une aventure littéraire qui mobilise depuis un siècle lecteurs, critiques, chercheurs. "La recherche", un écrit majeur du XXe siècle, fascine ou irrite mais ne laisse pas indifférent. Il faut la lire ou la relire...

11 novembre 2013

Je hais l'été

Capture Je Hais l'été

Par ce temps cru, se plonger ou replonger dans ce petit pamphlet brocardant les poncifs estivaux: Je hais l'été de Claude-Henri Buffard, aux éditions Mille et une nuit. Un petit régal qui réchauffe les coeurs noyés  dans le brouillard.

8 novembre 2013

Prix littéraires...

Lu dans "Le Temps" de lundi 04.11.13:

 

 

 

Lu dand "Le Temps" de vendredi 08.11.13:

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CINÉMA

- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.

Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure 

 

GUERRE

Valéry

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