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Rêveries

28 juillet 2015

Un été aigre-doux, un appartement dit "Les tulipes"

Un appartement sis du côté du quartier des ambassades.

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27 juillet 2015

Un été aigre-doux, Il cielo

Dans mon enfadolescence à la Chaux-de-Fonds, puis dans ma vie de jeune adulte à Genève, les cinémas avaient pour tradition, en juillet et août de passer des reprises. A cette époque, il n'y avait pas de monde virtuel et la VHS en était à ces balbutiements. C'était un moyen de voir ou revoir des films. Il y avait les incontournables, Don Camillo, les gendarmes et autre Fantômas mais aussi des policiers ou des westerns et parfois une restropective de Tati (un génie du cinéma).
Cette semaine, en consultant le journal du programme des films diffusés sur le petit écran, je constate qu'il y a plein de reprises. Delon, Fantômas et autres...
Les cinémas, depuis de nombreuses années, ne passent plus de reprises. Les nouveautés sortent en toutes saisons.
Ce soir, sur RTS2 Brigitte Bardot joue aux pétroleuses avec Claudia Cardinale, sur France3 Mylène Demongeot, Jean Marais et Louis de Funès sont à la poursuites de Fantômas qui se bat contre Scotland Yard, sur Arte "Scènes de la vie conjugale » de Bergman...

Il cielo
Berne, Place de la gare, ciel avec lune

26 juillet 2015

Un été aigre-doux, longueurs à la piscine de Berthoud

C'est un dimanche à l'accent automnal, la canicule est entre parenthèse.
Longueurs dans la belle piscine en plein air de Berthoud, construite dans les 1930 au pied du château. Un bel endroit pour nager. Modernisée il y a plusieurs année, elle garde la physionomie des bains de la première moitié du XXe siècle. 

25 juillet 2015

Un été aigre-doux, quelques nouvelles

"Première neige sur le Mont Fuji", six morceaux de vie qui se déroule au Japon quelques années après la guerre, écrits par Yasunari Kawabata (Éditions Albin Michel).
Quand je voyage en train, je capte parfois des moments de vie de voyageurs bavards. Entre deux gares, alors que le train file dans la campagne estivale ou automnale, des brides de vie, sans début avec une fin à imaginer sont égrenées par un monsieur à chapeau qui téléphone en parlant un peu fort ou deux dames assissent en face de moi qui parle bas mais dont on entend tout de même les propos. L'arrêt du train interrompt les récits qu'il faut alors compléter par son imagination.
Les six nouvelles de ce recueil, ressemblent à ces récits entendus dans les wagons. Ils nous plongent dans l'intimité de couples, familles ou personnes solitaires. On s'installe dans l'histoire, on se sent bien et déjà il faut quitter ce cocon soyeux. La gare arrive! Un goût suave nous envahi. Sur le quai, il ne reste plus qu'à imaginer la suite du récit tandis que le train repart.
J'ai particulièrement aimé "Une rangée d'arbres" (texte de 1958). Un recueil de nouvelles à lire durant l'été.

Capture

24 juillet 2015

Un été aigre-doux, le Zytglogge

Berne, le Zytglogge (ICI) un vendredi soir d'été...

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23 juillet 2015

Un été aigre-doux, coucher de soleil solognot

Coucher de soleil en Sologne à Romorantin.

22 juillet 2015

Un été aigre-doux, le lac Pavin (Masif Central)

Samedi 18.07.15.
Balade autour du lac Pavin, l'orage menace le lac prend des couleurs sombres...
Le lac Pavin, situé à une altitude de 1 197 mètre près de la station de ski de Super-Besse, a une profondeur de 93 mètres. Une hêtraie descend jusqu'au lac. Cette hêtraie enserre le lac, cela lui donne un lointain cousinage avec le lac de Thoune.

21 juillet 2015

Un été-aigre doux, fontaine bernoise

Cette fontaine, sur laquelle, par un escalier de fer on peut atteindre son sommet, permettant de se statufié dans les postures les plus folles, est située en face de l'entrée de la chancellerie d'État du canton de berne.

20 juillet 2015

Un été aigre-doux, Le jardin (ultime)

Un dernier regard sur le jardin, regard jeté lors des nettoyage de la maisonette le 15.07.15

19 juillet 2015

Un été aigre-doux, chaussure

Les emblématiques chaussures de jardin de Ric. Disputées, usées, déménagées....

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CINÉMA

- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.

Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure 

 

GUERRE

Valéry

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