Le jardin est superbe et les chambres sont très propres et le personnel est accueillant avec le masque de lait à la piscine de Paris.
Quand j'ai commencé de venir à Berne, en 1994, on ne trouvait pas d'huîtres dans la Ville fédérale. J'apportais des bourriches depuis Genève. 26 ans plus tard on trouve ces coquillages facilement. Peut-être qu'un jour quelqu'un se lancera dans la confection d'un rösti aux huîtres ..!
Samedi soir le dîner du restaurant est annulé et à l'aéroport de Zurich je n'ai jamais eu le temps pour les avionneurs en passant par la terrasse de ce bar à café.
Instantanés Un léger voile de cristaux de neige délicatement posé sur un labyrinthe que compose une haie de feuillus caduques rappelle que les mois d’hiver sont commencés … Un double espresso bu dans le wagon restaurant d’un rapide reliant la Ville fédérale à la Mégapole, une mégapole grise et froide …
Mardi après-midi à l'aéroport du village à bord d'un avion de ligne qui est arrivé dans la vallée de l'arc-en-ciel où les habitants sont des voisin masqués par les forces gouvernementales de la gare !
Mardi, les nouvelles du front Coronavirus ne sont pas bonnes. Le Conseil fédéral consulte les cantons. Des mesures drastiques seront peut-être prises.
A la fin novembre j'ai filmé le parc de Liebefeld, J'aime cet endroit qui évoque les décors des film du néoréalisme italien ...
Il faut prendre des photos de la cuisine pour récupérer le téléphone et les colis de la presse locale de Charleroi.
Ce matin, le vasistas de la salle de bain était couvert de neige. Une neige qui tiendra une journée. 2e dimanche de l’Avent. Escapade à Zurich, le temps d’une balade au bord du lac. Les magasins étaient ouverts. Pendant les années 1940, les gens faisaient la queue devant les magasins d’alimentation, muni de tickets. En décembre 2020, dans la très huppée Bahnhofstrasse, une file de gens masqués patientaient devant Vuitton. Les distances réglementaires entre les gens étaient respectées. Les temps changent…
Samedi soir, il pleut sur les restes de neige. Ce matin, le décor était blanc. Un peu de neige était tombée pendant la nuit. Samedi soir, sur le petit poste à galène on capte la musique d’Helena Munktell. Une musique qui évoque des étés disparus. Samedi soir, les chats du quartier ronflent sur les sofas tendus de toile aux teintes expressionnistes qui meublent un coin du salon-salle-à-manger–cuisine d’appartements fraichement construits dans une ancienne usine. Les félins ne descendent plus en ville depuis des mois. La vie nocturne s’est arrêtée de battre en mars. Ils commandent des pizzas que des grooms livrent dans des voiturettes électriques. Ils remuent la queue, en mesure, en écoutant des symphonies de Beethoven. C’est l’année du Maître, une année un peu occultée par des priorités sanitaires du type pandémie mondiale. Samedi soir, la tasse de café est vide. La cafetière italienne refroidi sur le bord de la gazinière. L’œil de bœuf est entrouvert, un courant d’air se promène dans la cuisine. Il est bientôt minuit, la suite pour grand orchestre d’Helena Munktell va s’achever. La cuisine sera plongée dans le silence et le noir. Il sera temps de lire quelques poèmes avant de plonger dans un sommeil peuplé de rêves cocasses et inénarrables.
Helena Mathilda Munktell (24 novembre 1852 — 10 septembre 1919) est une compositrice suédoise.
Helena Munktell, Suite for Stor Orkester (Suite pour grand orchestre)
Helena Munktell, Suite for Stor Orkester (Suite pour grand orchestre)
1. Preludio. Moderato e maestoso 2. Menuetto a l'antique 3. Andante molto lento e sostenuto 4. Finale. Allegro ben Moderato
Gavle Symphony Orchestra Tobias Ringborg, Direction
- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.
Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure