Espresso Malabar et lecture de la presse à l'Adriano's bar.
La température a, pour le troisième jour consécutif, dépassé les 25 degrés. Trois jours d'été... Fondue moitié-moitié à discrétion; à discrétion se lit aussi sur les cartes des restaurants de Suisse romande. Il faudrait écrire, à volonté! Encore un germanisme... Quand à la fondue moitié-moitié, elle fait l'unanimité de tout le pays, moitié gruyère, moitié vacherin fribourgeois. Ambassades britanique et du Pérou, quelques impressions de la Thunstrasse et de l'Elfenaustrasse. Le lilas est déjà en fleur...
Le parc de l'Elfenau, infos (ICI), en automne 2012 (ICI). C'est un endroit magnifique...
La hêtraie du pars de l'Elfenau
Brève incusion à Berthoud. Le château veille sur la ville de 15 238 âmes...
Vendredi passé, le 13 avril, le vent soufflait sur le village des vacances de mon enfance. J'ai piégé ce souffle sur de la pellicule noire et blanche. Un film muet, comme au temps du super-8. En noir et blanc, parce que c'est ma couleur préférée.
Le vent
Film noir et blanc, muet Lignières le 13 avril 2018 Réalisation Jeanjacques666
Le retour du vert dans la Ville fédérale En météorologie, les journées de plus de 25 degrés sont classées comme journées d'été. Ce 20 avril 2018 est donc le premier jour d'été à Berne.
La cardamine des prés, le dent-de-lion et le deuxième sorbet de la saison: sorbet de chocolat (un délice), caramel salé et mure
La floraison des magnolias de Corées est spectaculaire et éphémère. La magie ne dure pas plus d'une semaine. Les arbres, plantés il y a une dizaine d'années, sur la Place de la gare de la Ville fédérale, se sont étoffés et cette années la floraison est superbe.
Aux coins des rues de la Ville fédérale, les forsythias en fleur font comme des phares, qui guident les piétons égarés dans la capitale. La journée à été belle et à 22h00, il fait encore 14 degrés...
Balade dans la belle lumière du soir, avec vue sur les Alpes rosies par le soleil couchant. Café à l'Adriano's bar et lecture de la presse.
Dans la Ville fédérale, il y un morceau de campagne que j'aime traverser. On y voit des poules, des moutons et des vaches. J'ai filmé les poules...
Les poules, le coq et le chat
Réalisation jeanjacques666 Filmé le samedi 7 avril 2018, quelque part dans la Ville fédérale (Berne, Suisse) Film sonore, musique et son direct Film en couleur
JAZZ DU SAMEDI SOIR...
Kenneth Earl Burrell (né le 31 juillet 1931) est un guitariste américain de jazz , connu pour ses travaux sur le label Blue Note. Ses collaborations avec Jimmy Smith a produit le 1965 Billboard Top 20 album hit Organ Grinder Swing, il a cité des guitaristes de jazz Charlie Christian et Django Reinhardt parmi ses influences, ainsi que les guitaristes de blues T-bone Walker et Muddy Waters.
Kenny Burrell - Midnight Blue (1963) [Full Album]
00:00 - 01. "Chitlins con Carne" (Kenny Burrell) 05:29 - 02. "Mule" (Burrell, Major Holley, Jr.) 12:27 - 03. "Soul Lament" (Kenny Burrell) 15:10 - 04. "Midnight Blue" (Kenny Burrell) 19:10 - 05. "Wavy Gravy" (Kenny Burrell) 24:58 - 06. "Gee, Baby, Ain't I Good to You" (Andy Razaf, Don Redman) 29:23 - 07. "Saturday Night Blues" (Kenny Burrell) 35:40 - 08. "Kenny's Sound" (Kenny Burrell) 40:24 - 09. "K Twist" (Kenny Burrell)
Personnel
Kenny Burrell – guitar Stanley Turrentine – tenor saxophone Major Holley – bass Bill English – drums Ray Barretto – conga
Miles Dewey Davis III, né le 26 mai 1926 à Alton, dans l'Illinois et mort le 28 septembre 1991 à Santa Monica, en Californie, est un compositeur et trompettiste de jazz américain.
Musique pour errer dans les rues à pas d'heure, quand tous les chats sont gris... Une musique un peu mélancolique... Belle...
Miles Davis - A Day In Paris
Miles Davis – A Day In Paris
Tracklist : 00:00 - On The Champs Elysees 02:50 - A Dinner In Town 06:47 - What's New 10:27 - Woody'n You 15:23 - Bags Groove 22:23 - S'il Vous Plait 26:50 - The Photographer 30:44 - On the Highway 33:00 - Petit Bac Blues 35:54 - Lift to the Scaffold 38:42 - But Not for Me
SAMEDI 7 AVRIL C'est l'époque de la floraison des hellébores fétides (Helleborus foetidus L.). J'en ai vu une colonie dans la valée de Elay (Jura bernois), ce samedi. Il faisait un temps superbe (photo 1). Je suis ensuite passé dans le village des vacances de mon enfances, Lignières, (photo 2, le jardin)avant de regagner la Ville fédérale (photo 3, un coin de ferme en plein dans la ville)et j'ai dégusté mon premier sorbet de la saison. Depuis quelques jours, la gelateria di Berna, sise à Pestalozzistrasse 1, a ouvert ses portes après la pause hivernale. Il y avait foule. Cette enseigne a trois points de vente dans la capitale. Selon la NNZ*, c'est le meilleur glacier de Berne et il figure dans le top 5 des des glaciers suisse. Gelateria di Berna a ouvert un point de vente à Zurich... à Zurich!!! De mon côté, pour cette première, j'ai choisi fraise et citron.
Les chats du quartier, qui miaulent parfois dans ces pages, existent vraiment. Deux félins parlent à visage découvert, dans une entrevue qu'il est possible de voir dans la vidéo ci-dessous...
Les chats du quartier
Samedi, c'est jazz
Thomas Lee “Tommy” Flanagan, né le 16 mars 1930 à Détroit (Michigan), mort le 16 novembre 2001 à New York, était un pianiste américain de jazz.
Tommy Flanagan - Jazz Poet |FULL ABLUM|
Tommy Flanagan -- Piano George Mraz -- Bass Kenny Washington -- Drums
Released: 1989
1. 00:00 "Raincheck" 2. 04:59 "Lament" 3. 10:09 "Willow Weep" 4. 16:14 "Caravan" 5. 22:39 "That Tired Routine Called Love" 6. 29:28 "Glad To Be Unhappy" 7. 34:16 "St. Louis Blues" 8. 40:52 "Mean Streets" 9. 45:05 "I'm Old Fashioned" 10. 50:48 "Voce Abuse"
Sur un minuscule téléviseur du siècle passé, les chats du quartier ne se lassent pas de regarder, à longueur de soirée, BB et les Frères Jacques, dans un morceau d'anthologie. L'histoire de Stanislas... N'insistez pas...
Brigitte Bradot - Stanislas
Un coin de ciel au-dessus de la Ville fédérale, vers cinq heures du soir, ce jeudi 5 avril...
C’était dans la Neuengasse, près de la fontaine, aux alentours de quatre heures. Un piano droit, un tabouret, deux chapeaux colorés sur le sol, un pianiste, âgé d’un quart de siècle, ou plus, ou moins, se tenant bien droit sur le siège à trois pieds, jouait une valse. Il regardait tristement les chapeaux, espoirs d’un dîner, qui restaient vides. Plus tard, un pluie fine s’est mise à tomber. Au-dessus des conversations en dialecte bernois, une voix forte, féminine, a dit à sa fille ou petite-fille, “Quand il pleut et que le soleil brille, il y a un arc-en-ciel quelque part.” Les coupoles de Palais fédéral bouchent l’horizon. Les embrouilles politiques empêchent de voir le ciel aux sept couleurs. Encore plus tard, sur la Place de la gare, un gars, habillé tout en noir, jouait du cor des Alpes. Un cor tout blanc. Un drapeau suisse est suspendu au milieu de ce long instrument façonné en bois, qui fait partie de la famille des cuivres. Un enfant met des pièces dans un petit panier en osier. Pour remercier, le joueur offre une modulation des notes. L’enfant fait un signe de la main. Le son du cor, dans ce milieu urbain, fait resurgir mon passé paysan. C'est la minute de frissons qui s'échinent à parcourir mes souvenirs. La circulation est dense, c’est l’heure des rentrées. Je saute sur mon vélo et, mêlé à un peloton de passage, je disparaît du côté de Hirschengraben... Une courte descente avant une rude montée...
En fin d'après-midi, concert à l'Eglise française de Berne. Au programme, "Les Sept dernières paroles du Christ en Croix" de César Frank et la "Messa di Gloria" de Puccini. Sur la scène, L'ocb Oratorienchor Bern, le Berner Symphonieorchester BSO, la soprano suédoise, Malin Hartelius, le ténor Sud coréen, Carlo Jung-Heyk Cho, la basse/baryton Néozélandaise, Martin Snell et la pragoise Olga Pavlu à la baguette. Le concert à également été joué hier. "Les Sept dernières paroles du Christ en Croix" de César Frank a été une belle découverte. J'ai aimé la 2e parole "Amen, dico tibi" et la 4e "Deus meus, ut quid dereliquisti me ?" avec un accompagnement à la harpe. Le ténor à manqué sa prestation. Il la manquera aussi dans la "Messa di Gloria". Puccini a commencé par écrire de la musique religieuse avant de composer des opéras. Il a composé la Messe à 22 ans. Cette musique donne le ton de ce que sera la musique de Puccini. La musique de cette Messe est assez "opératique". C'est également une découverte. Cette oeuvre est rarement jouée. A la fin du concert, le public à chaleureusement applaudi les artistes.
César Franck: Les Sept dernières paroles du Christ en Croix
César Franck (1822-1890)
Les Sept dernières paroles du Christ en Croix
I Prolog: O vos omnes, qui transitis per viam 0:00 II 1. Pater, dimitte illis 4:49 III 2. Amen, dico tibi 10:28 IV 3. Mulier, ecce filius tuus 14:45 V 4. Deus meus, ut quid dereliquisti me ? 21:40 VI 5. Sitio! Dederunt ei vinum bibere cum felle mixtum 25:25 VII 6. Consummatum est. 32:10 VII 7. Pater, in manus tuas commendo spiritum meum 37:40
Edith Wiens, soprano Raimundo Mettre, tenor Thomas Pfeiffer, baritone Ivo Ingram, bass
Philharmonie Schwäbisch Gmünd (Chor und Orchester) Conducted by Hubert Beck 21. Nov 1979
Giacomo Puccini - Messa di Gloria for solo voices, choir and orchestra
1:06 Kyrie 6:15 Gloria 26:59 Credo 42:06 Sanctus - Benedictus 45:28 Agnus Dei Rafał Bartmiński - tenor Wojciech Gierlach - bas/bass Henryk Wojnarowski - dyrygent/conductor Orkiestra i Chór Filharmonii Narodowej Warsaw Philharmonic Orchestra & Choir koncert zarejestrowano 17 listopada 2016 w sali koncertowej Filharmonii Narodowej recorded at Warsaw Philharmonic Concert Hall, November 17, 2016
- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.
Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure