Aux coins des rues de la Ville fédérale, les forsythias en fleur font comme des phares, qui guident les piétons égarés dans la capitale. La journée à été belle et à 22h00, il fait encore 14 degrés...
Balade dans la belle lumière du soir, avec vue sur les Alpes rosies par le soleil couchant. Café à l'Adriano's bar et lecture de la presse.
Johann Strauss II: "Frühlingsstimmen" / "Voices of Spring" for soprano and orchestra Soprano: Patricia JANEČKOVÁ - "New Years Concert in Vienna Style“ Janáček Philharmonic Ostrava, Chief conductor: Heiko Mathias Förster January 7, 2016, Ostrava, Czech Republic
Dans le jardin, les abeilles commencent à être actives... Miam....
Dans la Ville fédérale, il y un morceau de campagne que j'aime traverser. On y voit des poules, des moutons et des vaches. J'ai filmé les poules...
Les poules, le coq et le chat
Réalisation jeanjacques666 Filmé le samedi 7 avril 2018, quelque part dans la Ville fédérale (Berne, Suisse) Film sonore, musique et son direct Film en couleur
JAZZ DU SAMEDI SOIR...
Kenneth Earl Burrell (né le 31 juillet 1931) est un guitariste américain de jazz , connu pour ses travaux sur le label Blue Note. Ses collaborations avec Jimmy Smith a produit le 1965 Billboard Top 20 album hit Organ Grinder Swing, il a cité des guitaristes de jazz Charlie Christian et Django Reinhardt parmi ses influences, ainsi que les guitaristes de blues T-bone Walker et Muddy Waters.
Kenny Burrell - Midnight Blue (1963) [Full Album]
00:00 - 01. "Chitlins con Carne" (Kenny Burrell) 05:29 - 02. "Mule" (Burrell, Major Holley, Jr.) 12:27 - 03. "Soul Lament" (Kenny Burrell) 15:10 - 04. "Midnight Blue" (Kenny Burrell) 19:10 - 05. "Wavy Gravy" (Kenny Burrell) 24:58 - 06. "Gee, Baby, Ain't I Good to You" (Andy Razaf, Don Redman) 29:23 - 07. "Saturday Night Blues" (Kenny Burrell) 35:40 - 08. "Kenny's Sound" (Kenny Burrell) 40:24 - 09. "K Twist" (Kenny Burrell)
Personnel
Kenny Burrell – guitar Stanley Turrentine – tenor saxophone Major Holley – bass Bill English – drums Ray Barretto – conga
Miles Dewey Davis III, né le 26 mai 1926 à Alton, dans l'Illinois et mort le 28 septembre 1991 à Santa Monica, en Californie, est un compositeur et trompettiste de jazz américain.
Musique pour errer dans les rues à pas d'heure, quand tous les chats sont gris... Une musique un peu mélancolique... Belle...
Miles Davis - A Day In Paris
Miles Davis – A Day In Paris
Tracklist : 00:00 - On The Champs Elysees 02:50 - A Dinner In Town 06:47 - What's New 10:27 - Woody'n You 15:23 - Bags Groove 22:23 - S'il Vous Plait 26:50 - The Photographer 30:44 - On the Highway 33:00 - Petit Bac Blues 35:54 - Lift to the Scaffold 38:42 - But Not for Me
Mercredi, j'ai publié, sur mon compte IG une photo d'un extrait d'article paru dans le quotidien "Le Temps", daté du 11 avril, "#DeleteFacebook, hashtag si amer". Depuis ce jour-là, j'ai suspendu mes activités sur IG (Instagram), mais, je continue de converser sur WhatsApp... En revanche, je ne me suis jamais intéressé à FB.... De toutes façon, mes données et le ruban de ma vie virtuelle sont dans le grand ordinateur. Adieu vat!
Le jardin de Lignières ce vendredi 13 avril. Le vent soufflait, le ciel était beau, avec des nuages merveilleux...
Nota bene: le vendredi, Lakevio publie sur son blog la reproduction d'une toile, d'un artiste connu ou moins connu. Cette peinture sert de guide pour une création littéraire. Le lundi, Lakevio donne sa version. Dans les commentaires, ceux qui proposent un texte indiquent l'adresse à laquelle leur prose peut être lue. Il est intéressant de lire ces textes, souvent cousins dans la trame mais tous avec leur caractère et leur style.Lakevio, c'est à cette adresse: (ICI)
Les dix ...
Sans-têtes
Karin Jurick
Sur ce que vous inspire la toile de Karin Jurick, vous voudrez bien placer les dix mots suivants dans votre texte en les soulignant ou surlignant. pour mieux les repérer.
complémentaire
epoustouflant
respirait
baignade
tortionnaire
chanteur
juger
aberrant
pénitencier
profitera
A vos claviers. Retour lundi. Mais n'en perdez pas la tête !
La salle, vaste, avec une hauteur sous plafond de plus de quatre mètres, n‘avait pas de nom, contrairement à toutes les salles et bureaux de l‘établissement. Elle ne portait pas de numéro et aucun horaire des consultations n‘était visible. La seule fantaisie, dans ce lieu austère, était un petit autocollant fixé sur la chambranle de la porte. On pouvait lire "BAIGNADE interdite“.
Les murs de la salle, noirs, étaient percés de deux fenêtres. Le sol et le plafond, jaune sable, faisaient comme un coin de désert. L‘endroit RESPIRAIT le propre avec une vague odeur de désinfectant. Des bancs, alignés dans la largeur, étaient, pour l‘instant, inoccupés. Au-dessus se balançaient des câbles.
Au fond de la salle un imposant écran plasma diffusait le tirage du numéro COMPLÉMENTAIRE de la loterie nationale. Un fondu enchaîné fit apparaître un CHANTEUR qui se lança dans une reprise "des portes du PÉNITENCIER“, une chanson qui avait, jadis, fait chauffer les saphirs. C‘était au siècle passé, à l‘époque du yéyé. La voix peu assurée de ce chanteur d‘opérette rendait le numéro, à en JUGER, par la passivité du public de ce télé-crochet, peu ÉPOUSTOUFLANT. Un TORTIONNAIRE n’aurait pas mieux réussi pour arracher un aveu ABERRANT de la bouche d’un réfractaire au régime autoritaire mis en place par une junte militaire.
Sur un des bancs, quelqu’un avait gravé, au moyen d’un couteau de poche, “à qui PROFITERA le crime?”
Les premiers patients arrivèrent. C’était un couple de retraités. Ils portaient des tenues estivales, dans les tons ciel. Elle et lui tenaient précieusement un sac de jute. Ils contenaient leur fil de vie, encodé sur des disque durs. Aussitôt assis, des infirmiers se précipitèrent pour s’occuper d’eux. Cette salle, sans nom, austère et indiquée nulle part dans l’établissement, accueillait les sans-têtes. Ils venaient ici, trois fois par semaine pour une dialyse de l’âme. Les infirmiers branchaient les câbles qui se balançaient au-dessus des bancs sur le reste de leur tête. Ils glissaient ensuite les disques durs, qui se trouvaient dans les sacs de jute, dans des lecteurs de puissants ordinateurs et les patients revivaient leur souvenirs. Officiellement, cette étrange maladie, qui efface peu à peu la tête n’existe pas. La médecine, impuissante, est dans le déni. Peu à peu, la tête s’efface. Il n’y a pas de guérison et l’effacement est plus ou moins rapide. La dialyse de l’âme est la seule parade.
Bientôt, la salle est pleine et l’on peut observer le ballet-pantomime des infirmiers. Ils connectent les sans-têtes à leur bride de souvenirs.
Par l’une des fenêtres de la salle, on voit le printemps qui démarrent. Dans un pré, un troupeau de vaches est couché sous les arbres. On les imagine ruminer. Elles n’ont pas de têtes.
SAMEDI 7 AVRIL C'est l'époque de la floraison des hellébores fétides (Helleborus foetidus L.). J'en ai vu une colonie dans la valée de Elay (Jura bernois), ce samedi. Il faisait un temps superbe (photo 1). Je suis ensuite passé dans le village des vacances de mon enfances, Lignières, (photo 2, le jardin)avant de regagner la Ville fédérale (photo 3, un coin de ferme en plein dans la ville)et j'ai dégusté mon premier sorbet de la saison. Depuis quelques jours, la gelateria di Berna, sise à Pestalozzistrasse 1, a ouvert ses portes après la pause hivernale. Il y avait foule. Cette enseigne a trois points de vente dans la capitale. Selon la NNZ*, c'est le meilleur glacier de Berne et il figure dans le top 5 des des glaciers suisse. Gelateria di Berna a ouvert un point de vente à Zurich... à Zurich!!! De mon côté, pour cette première, j'ai choisi fraise et citron.
Les chats du quartier, qui miaulent parfois dans ces pages, existent vraiment. Deux félins parlent à visage découvert, dans une entrevue qu'il est possible de voir dans la vidéo ci-dessous...
Les chats du quartier
Samedi, c'est jazz
Thomas Lee “Tommy” Flanagan, né le 16 mars 1930 à Détroit (Michigan), mort le 16 novembre 2001 à New York, était un pianiste américain de jazz.
Tommy Flanagan - Jazz Poet |FULL ABLUM|
Tommy Flanagan -- Piano George Mraz -- Bass Kenny Washington -- Drums
Released: 1989
1. 00:00 "Raincheck" 2. 04:59 "Lament" 3. 10:09 "Willow Weep" 4. 16:14 "Caravan" 5. 22:39 "That Tired Routine Called Love" 6. 29:28 "Glad To Be Unhappy" 7. 34:16 "St. Louis Blues" 8. 40:52 "Mean Streets" 9. 45:05 "I'm Old Fashioned" 10. 50:48 "Voce Abuse"
J'aime les polkas rapides... J'aime Vienne.... J'aime les soirs d'orage, quand l'éclair illumine la campagne de sa lumière blafarde... Descendre, à pied, du Kahlenberg jusqu'aux rives du Danube... Les dimanches à Grinzing... Ecrire et lire au café Central (ICI)... Etre envahi par le «Gemütlichkeit», (expression intraduisible)... Photos de Vienne (archives) croquées il y a longtemps avec mon téléphonne...
Johann Strauss II. - Unter Donner und Blitz (Polka, op. 324)
Sur un minuscule téléviseur du siècle passé, les chats du quartier ne se lassent pas de regarder, à longueur de soirée, BB et les Frères Jacques, dans un morceau d'anthologie. L'histoire de Stanislas... N'insistez pas...
Brigitte Bradot - Stanislas
Un coin de ciel au-dessus de la Ville fédérale, vers cinq heures du soir, ce jeudi 5 avril...
- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.
Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure