Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Rêveries
15 septembre 2018

Un été sans fin - Maria, Giacomo, Giuseppe et les autres...

Dans la cuisine, une odeur de café flotte. La cafetière italienne chantonne sur la gazinière. La voix de Maria envahi l'espace. Elle raconte, en voisine, sa vie simple. Cette voix donne la chair de poule. Inlassablement l'extrait de la Bohème est rejoué sur le gramophone...
"ma quando vien lo sgelo
il primo sole è mio
il primo bacio dell'aprile è mio."
C'est samedi soir. Les chats du quartier sont partis en goguette dans un cabaret au bord de l'Aar.
La nuit est bien avancée et sur l'écran d'un poste de télévision, un autre drame commence, celui de Violetta... Ce sont de jeunes chanteurs qui défendent cette Traviata jouée en plein air. Violetta c'est aussi le souvenir de Maria.
La Traviata, ça commence par des violons qui pleurent. D'instinct, on sait qu'un drame couve. Il y a ensuite une valse un peu nostalgique et le drame se noue.

Maria Callas - La Traviata

Maria Callas (1923-1977)
Giuseppe Verdi (1813-1901)
La traviata
E strano! E strano!...Ah, fors'è lui che l'anima...Follie! Follie!...Sempre libera
Alfredo - Francesco Albanese
Orchestra sinfonica di Torino della RAI
Conducted by Gabriele Santini
1953

 

La Traviata - Preludi - Toscanini (1929)

Orchestre Philharmonique de New York dirigé par Arturo Toscanini. Le prélude de l'acte 1 et 3 de la Traviata. Enregistrement 18 et 29 mars 1929

Commentaires
Rêveries
Rêveries
Newsletter
CINÉMA

- Mais... c'est l'intervention de cette grosse femme... C'est un ptit peu... enfin... ça va très loin.
- C'est là que je me rends compte que malheureusement, je vous ai beaucoup moins bien réussi que le porc.

Pierre et Thérèse.
Le père Noël est une ordure 

 

Lecture
GUERRE

Valéry

Archives